20 février 2011, par Nimzovinec
Notre noble jeu présente de nombreuses facettes, nous entendons régulièrement les termes tactique, stratégie, plan, jeu positionnel, etc...
Si ces termes semblent bien définis dans le langage commun, dans la sphère du jeu d’échecs leurs définitions sont plus troubles et imprécises.
La tactique est une succession de coups élémentaires, et dans ce sens c’est sans aucun doute le terme le mieux défini.
Mais ces coups se succèdent dans un certain cadre, ils ne sont normalement pas dus au hasard ils (...)
20 février 2011, par Nimzovinec
La pratique du jeu d’échec par correspondance induit une approche du temps assez particulière. En effet comment comparer une partie sur l’échiquier qui dure environ 4 heures avec une partie par correspondance qui peut durer plusieurs années.
Cette spécificité est remarquable ; le temps semble quasiment infini pour les joueurs que nous sommes. Cette notion « d’infini » implique des particularités importantes et spécifiques et ce à plusieurs niveaux très différents :
· Sur le choix du répertoire,
· Sur (...)
20 février 2011, par Nimzovinec
Une des critiques les plus virulentes que rencontre le jeu d’échecs par correspondance et l’utilisation de l’outil informatique. Mais cela reste trop vaste, car il y a informatique et informatique.
En effet l’outil informatique présente plusieurs facettes :
La bureautique,
La gestion de l’information, les bases de données,
Les modules de calcul.
La bureautique va comprendre tout ce qui est traitement de texte, tableur, mise en forme de document, etc...
La gestion de l’information (...)
15 février 2011, par Nimzovinec
Notre noble jeu présente bien des facettes différentes et parfois contradictoires, c’est ce qui fait sans doute à la fois son attrait mais également sa difficulté.
En effet nous demandons souvent à notre jeu d’être à la fois forçant, tranchant mais également souple solide et plein de possibilités diverses et variées.
Comment pouvons nous marier ensemble jeu forçant et souplesse ?
Comment pouvons nous exercer une pression sur notre adversaire sans nous découvrir et tout en gardant le maximum de (...)
15 février 2011, par Nimzovinec
Conduire une partie d’échecs est une activité difficile. En effet ; il nous faut juger un position, l’analyser, calculer des variantes, déterminer un plan et déjouer tous les pièges de l’adversaire.
Cette difficulté est bien réelle ; trouver des éléments de réponses n’est pas simple.
Nous parlons couramment de jeu positionnel, tactique et de stratégie mais que se cache-t-il derrière ces mots ?
Il me semble qu’une certaine confusion règne dans la définition même de ces termes.
Peut-on opposer jeu (...)